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Description
Un sourire poli, des yeux éclatants comme un vitrail, une voix douce qui dissimule la cruauté la plus pure. Doma, membre du rang supérieur Deux des Douze Lunes Démoniaques, est l’incarnation parfaite de l’horreur sous un masque charmant. Cette version Maximatic conçue par Banpresto joue avec ce contraste glaçant : un visage avenant, presque chaleureux, sur un corps qui n’existe que pour tuer et dévorer. À travers une posture maîtrisée et un soin des détails chirurgical, cette pièce donne forme à un personnage aussi fascinant qu’abject.
Doma n’a rien du monstre hurlant. Il ne se précipite pas sur ses proies. Il les accueille. Il les comprend. Il leur sourit… avant de les faire disparaître, dans une sorte de logique tordue qu’il s’est lui-même fabriquée. Ce décalage entre ses mots empreints de compassion et ses actes inhumains traverse tout son rôle dans Demon Slayer. Il se veut lumineux, presque sacré. Mais derrière cette fausse sérénité, il y a un vide. Un gouffre émotionnel insondable. Ce qu’il appelle “amour” n’est que consommation. Ce qu’il nomme “paix” n’est qu’annihilation.
Son look, immédiatement reconnaissable, est restitué ici avec une fidélité visuelle bluffante. La chevelure bicolore, coiffée en crête inversée, déborde d’exubérance contrôlée. Le maquillage des yeux, multicolore, brille avec une intensité qui attire autant qu’elle dérange. Son sourire, trop large pour être honnête, glisse lentement vers quelque chose d’inquiétant. Et ses vêtements, ce mélange raffiné entre le rouge, le noir et le gris, évoquent à la fois le temple, le théâtre, et le sang.
Banpresto saisit ici le personnage dans toute sa théâtralité : bras croisés, buste légèrement tourné, regard dirigé vers un interlocuteur invisible. Il ne se bat pas. Il discute. Il sermonne. Il explique à ses ennemis pourquoi il va devoir les tuer, avec cette gentillesse feinte qui glace autant qu’elle intrigue. Face à Shinobu Kocho, face à Kanao Tsuyuri, il ne montre aucun plaisir sadique, simplement une conviction calme, presque douce, qu’il est dans le vrai.
C’est ce calme, justement, que cette version Maximatic réussit à restituer. Le corps est souple, presque élégant. Aucun muscle tendu, aucune agressivité brute. La menace est ailleurs : dans le regard, dans la posture, dans ce qui n’est pas dit. C’est une menace psychologique, diffuse, lente, qui s’installe comme un poison dans l’air.
Dans le manga de Koyoharu Gotouge, Doma incarne une forme de mal qui ne crie pas, qui ne court pas, qui ne frappe pas sans raison. Il est l’opposé d’un démon comme Akaza, empli de rage et de conflit intérieur. Lui, ne doute jamais. Et c’est ce manque total de dilemme moral qui le rend si insupportable, si dérangeant, si marquant.
Cette sculpture propose donc bien plus qu’un personnage décoratif. Elle impose une ambiance. Posée sur une étagère, elle attire le regard d’abord par ses couleurs, sa finesse, puis laisse une sensation étrange : ce sourire ne rassure pas. Il trouble. Et c’est exactement ce que Doma représente. Le chaos dans un écrin de beauté.
Pour les amateurs de Demon Slayer, cette pièce est une pierre angulaire. Elle complète parfaitement une collection qui compte déjà les visages plus “héroïques” de la saga : Tanjiro Kamado, Nezuko, Zenitsu Agatsuma, Giyu Tomioka, et bien sûr les autres Piliers. Elle apporte un contrepoids esthétique et narratif. Un rappel que dans ce monde de lames et de souffrances, la menace ne crie pas toujours. Parfois, elle sourit.
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